lundi 31 décembre 2012

Les bases de la communication

N'avez-vous jamais eu le sentiment que votre interlocuteur ne vous écoute pas. C'est agaçant hein ? Pourquoi avez-vous eu cette sensation ? Tout simplement parce que malgré son attitude ouverte et avenante, il ne vous regardait pas dans les yeux.

Pour ma part, ça m'arrive tous les jours, au petit déjeuner oui, mais au cours de la journée aussi. Ma moitié s'entête à ne pas me regarder lorsque je lui parle. Et pourtant, tous ceux qui connaissent ma délicatesse et ma patience, imaginent aisément combien j'ai pu œuvrer, tant par les mots que par les maux pour modifier cette situation : "Mais tu ne m'écoutes pas là, tu t'en fous de ce que je te raconte en fait ! Vas-y répète ce que je viens de te dire ? Oui ben c'est facile de faire le perroquet comme ça sur l'instant ! Et ne me dis pas que tu m'écoutes et que tu peux faire deux choses en même temps, j'ai mon avis sur la question !"
Oui, vous le constatez, c'est éprouvant ! Afin de me ménager, j'ai aussi essayé la manière diplomate : " Tu as des soucis en ce moment, tu me donnes l'impression d'être préoccupé..." mais je me lasse vite.

Quand une personne me parle, moi, je me tourne vers elle, je la regarde dans les yeux et éventuellement j'opine du chef pour lui montrer que je suis attentive et que j'ai bien compris.

Ce qui me rassure (enfin façon de parler), c'est que mon cher et tendre n'est pas le seul à occulter les règles de base de la communication.

Tenez, l'autre jour dans les transports en commun, j'observais deux personnes qui discutaient assises côte à côte. Appelons-les Prolixe et Spleen. Ils étaient sans doute collègues car leurs échanges portaient sur leur activité. Enfin pouvait-on parler vraiment d'échanges ? Prolixe débitait son discours penché vers Spleen, cherchant désespérément son regard. Spleen, assis côté fenêtre, fixait un point imaginaire à l'extérieur, donnant ainsi l'impression d'être indifférent à la litanie de Prolixe. De temps en temps Spleen apportait des réponses à Prolixe mais sans quitter des yeux sa fenêtre. Spleen avait une attitude bien curieuse.

Au début j'ai même cru qu'il était aveugle, ce qui aurait notamment expliquer pourquoi son comportement ne poussait pas Prolixe à trouver quelqu'un d'autre pour discuter ou du moins à mettre fin à cette conversation.
Ensuite, je me suis tout simplement dit que Spleen aurait aimé être ailleurs, que les propos de Prolixe l'ennuyait profondément. Il ne s'en cachait d'ailleurs pas au risque de se montrer impoli.
J'ai pensé aussi que Spleen pouvait être stressé, nerveux, soucieux, ce qui l'empêchait de se concentrer sur les paroles de Prolixe.
Enfin, Spleen était peut-être un grand timide, manquait de confiance en soi, de sorte que croiser le regard de son interlocuteur était pour lui difficile.

Quelles que soient ses raisons, force est de constater que Spleen avait négligé les bases de la communication. Que ce soit en couple ou en société, parler et regarder sont indissociablement liés.


vendredi 28 décembre 2012

L'altruisme

Pourquoi l'altruisme de certains nous met-il mal à l'aise ? 
Parce qu'il nous paraît suspect dans notre société où règne le chacun pour soi ou parce qu'il met en évidence le fait que nous sommes nous-mêmes dépourvu de cette qualité ?

Lorsque je vais chercher mon aîné à l'école, je suis amenée quotidiennement à saluer la dame chargée d'assurer la sécurité aux passages piétons, vous savez ces agents municipaux en gilet jaune qui facilitent la traversée des parents et de leurs enfants aux abords des écoles. Cette dame avenante et de tempérament enjoué a toujours une bonne parole à l'encontre des passants : "Couvrez-vous bien demain ils annoncent 2°C", un bon mot sur le moment présent : "Il croit peut-être que je vais le laisser passer celui-là parce qu'il a un gros 4X4 !", offre des bonbons à certains enfants : "Sers toi mon grand, dans le sac noir sur le trottoir"....

Moi qui ai toujours le nez dans le guidon, qui suis plutôt de type associable, j'avoue être toujours un peu gênée de la croiser. Je me dis que moi aussi j'aimerais me montrer bienveillante à son égard, lui témoigner ma sympathie, mais je n'ai pas comme elle, cette bonhomie cordiale, cette empathie naturelle. Il est difficile à mon sens de montrer avec le plus d'honnêteté possible son intérêt pour une personne sans que cela passe pour une simple marque de politesse.

Le mois dernier, elle a été absente pendant plusieurs jours. Et bien, elle nous a manqué. Mon fils et moi avions toujours une pensée pour elle à l'approche du passage piéton : "Oh, elle n'est toujours pas là la dame". A son retour, j'ai su me montrer loquace (enfin, dans la limite des mes capacités !), je lui ai demandé si elle avait été malade, elle m'a répondu que oui, qu'elle l'était toujours mais qu'elle devait venir bosser parce qu'elle n'était pas titulaire et donc pas payée pendant son arrêt maladie... L'air de rien, ça nous a fait un petit sujet de conversation.

Un jour, elle m'a dit, "demain je vous ramène un body pour votre bébé, je voulais l'offrir à une copine et puis son bébé a grandi entre temps du coup ça ne lui ira plus, c'est un body bleu, mais c'est pas grave, ça ira quand même pour votre petite fille hein ?" " Euh oui oui, ai-je bredouillé, merci c'est très gentil". Pourquoi avait-elle pensé à moi ne connaissait-elle pas une autre jeune maman dans son entourage plus proche ?

Vendredi dernier, dernier jour avant les vacances scolaires de Noël, alors que je traversais la route, elle m'a interpellée : "Je vais faire un petit cadeau pour votre bébé, je lui donnerai à la rentrée le 7 janvier". Cette fois, c'était trop, ça m'a échappé, je lui ai demandé d'emblée, au risque d'être impolie : "Mais pourquoi ?" et elle m'a tout simplement répondu "Parce que j'aime bien confectionner des choses et puis ça me fait plaisir de les offrir comme ça à certaines personnes". Ouah ! Son altruisme venait de m'exploser en pleine figure et mon égoïsme avec.

Car moi, je n'avais jamais pensé à lui acheter un petit quelque chose pour les fêtes, elle m'avait quand même déjà offert un body pour la petite et pourtant ça ne m'avait même pas effleuré l'esprit ! Depuis, je réfléchis à un cadeau, pas trop petit, pas trop gros, pas trop banal, pas trop personnel. Ce cadeau que je n'offrirai logiquement pas par altruisme mais par pur dédouanement. 




mercredi 26 décembre 2012

J'ai testé la crème Multi-Régénérante jour de Clarins

Certes j'ai testé la crème Multi-Régénérante jour de Clarins, mais je ne suis vraisemblablement pas la seule. Il paraît que cette crème est vendue toutes les 8 secondes dans le monde. Elle existe depuis des décennies. Sa composition a été améliorée en 2012, c'est cette nouvelle formule que j'ai pu tester. 

Bien entendu, je connais les produits Clarins, il m'est arrivé d'en acheter mais j'avoue que leurs prix m'ont toujours un peu refroidie. D'ailleurs cette crème est à 71€ pour 50 ml. Je n'ai pas pour habitude de mettre ce prix dans une crème. Pour exemple les crèmes anti-âge de la gamme Bio Beauté by Nuxe, qui ont ma préférence ces derniers temps, coûtent en moyenne 17€. Pour 30 ml me direz-vous, mais vous aurez beau appliquer la bonne vieille règle de trois que ma mère s'est évertuée à m'inculquer durant toute ma scolarité car je la cite "ma chérie, tu en auras toujours besoin dans ta vie ! " et fichtre elle avait raison. Donc bref, si j'applique la règle de trois, 50 ml de crème Bio Beauté ne me reviennent de toute façon pas à 71€ mais bien moins 28€.


De toute façon, je n'ai pas eu à acheter cette crème puisqu'on me l'a offerte. Et qui ? Je vous le donne en mille : Clarins eux-même. J'ai été tiré au sort après avoir répondu, pour la première fois (c'est ce qu'on appelle la chance du débutant), à un sondage sur la cosmétique, sur www.aufeminin.com.

Ayant utilisé près de la moitié du pot, je peux à présent vous parler de ce produit.
Tout d'abord son packaging, sobre et luxueux aux couleurs Clarins (bordeaux et doré), les lettres Clarins en impression apposées sur le milieu gauche du dessus du pot sont à mon goût très chics. Oui son conditionnement est en pot et c'est bien dommage, on ne le répétera jamais assez, même s'il est vrai qu'un pot est plus classe, plus précieux, un flacon pompe est nettement plus hygiénique.

Premiers commentaires à la lecture des promesses de Clarins "Indispensable à partir de 40 ans (et là je comprends que cette crème ne m'est pas totalement destinée, à 4 ans près, ça ne devrait pas me faire de mal non plus), la crème de jour experte assure une effet lift dès l'application (ça on ne peut pas le contester) pour une mise en beauté immédiate (euh faut pas non plus exagérer). Jour après jour, elle renforce la fermeté de la peau, tout en maintenant son élasticité (je serais bien en peine de le vérifier). Cette action raffermissante globale réduit visiblement les rides et plis d'expression (visiblement ? ça reste à voir) remodèle l'ovale et révèle la beauté des traits (oh c'est beau !).

Concernant sa formule, pour faire court et clair pour les non chimistes que nous sommes, elle contient des extraits de plantes telles que le thym citron bio et la banane verte bio qui, associés, permettent de solidariser les fibres et cellules de notre peau. Pour ma part, je note une grande absente dans cette formule : la protection solaire. Comment une si grande marque peut-elle proposer une crème de jour sans protection solaire ? Tant qu'à revoir sa formule en 2012 Clarins aurait pu y penser.

A l'application, j'apprécie la fragrance propre aux crèmes Clarins, la texture est crémeuse et agréable. Malheureusement, rapidement une petite sensation de tiraillement s'installe, laissant penser que l'hydratation est insuffisante, que votre peau en redemande. Cette impression est due en fait à l'effet tenseur qui est immédiat. Cette désagréable petite sensation (il faut quand même l'admettre), disparaît après quelques minutes, votre peau retrouve alors confort, souplesse et douceur.

Après plusieurs semaines d'utilisation, je n'ai pas constaté d'effet sur les rides, le contraire m'aurait quand même bien étonnée. Ma peau me semble néanmoins plus ferme, plus rebondie, de là à dire que c'est visible ce serait mentir.






samedi 22 décembre 2012

Eloge toute proportion gardée du congé parental

Si l'on occulte l'aspect financier, le fait que celui-ci éloigne du marché du travail, qu'il est un frein à l'évolution de carrière, le congé parental est-il salutaire ?
En congé maternité puis congés payés depuis plusieurs mois, ce break professionnel me donne un avant goût de ce que pourrait être un congé parental : une vie sociale entre parenthèse, une régression de votre être qui, par mimétisme, fait risette à longueur de journée et ne s'exprime que par onomatopées.
Maman et Papa pour la vie

Le matin débute avec votre premier écueil intellectuel. En effet, comme c'est souvent le moment où vous êtes le plus tranquille, vous en profitez pour légumer 20 minutes devant la télé. Vous optez pour "Amour, gloire et beauté", la soupe qu'il vous arrivait déjà de regarder lorsque vous étiez étudiante. Vous vous rendez compte finalement qu'en 15 ans, si votre vie a beaucoup changé, le feuilleton en revanche lui n'a pas évolué, l'histoire et ses intrigues (ah ses intrigues !) sont toujours les mêmes. Les acteurs n'ont pas pris une ride, gorgés au botox, tirés jusque derrière les oreilles.

Inutile de vous habiller (sous entendu, en tenue de ville), vous passez la majeure partie de la journée en pyjama. A quoi bon enfiler un pantalon, je ne parle même pas d'une jupe puisque vous restez seule à la maison sans personne pour vous admirer. Vous daignerez uniquement vous habiller en fin d'après-midi pour sortir les poubelles, regarder au courrier et aller récupérer l'aîné à l'école : pull, jeans, boots, maquillage express (tellement express d'ailleurs, qu'il sera démaquillé une heure voire 1/2 heure après). Par contre, pas question que votre petite progéniture reste en pyjama toute la journée. A peine s'est-elle réveillée que vous l'habillez en fifille : un petit haut à frou frou, un leggin,... elle est trop mignonne comme ça...et vous, vous êtes là pour l'admirer.

Parfois, vous décidez de vous octroyer une séance de shopping mais ne chinez finalement que pour vos oisillons. Pourquoi vous acheter de nouvelles fringues puisque vous n'aurez pas l'occasion de les porter au boulot ? Les occasions justement...la moindre petite sortie du week-end est une fête. Vous allez enfin pouvoir remettre ce petit haut que vous portiez avant votre grossesse et tenez, ce pantalon également. Oui, vous allez pouvoir vous pomponner un peu, porter vos bijoux, vous montrer. 

Etrangement, les journées en semaine passent très vite, honnêtement vous ne vous ennuyez pas du tout. A quoi passez-vous vos journées ? Vous ne sauriez l'expliquer, pourquoi l'expliquer d'ailleurs, on ne vous comprendrait pas. Vous vous réalisiez par le passé avec les "métro, boulot, dodo", vous vous épanouissez à présent avec les "bibi, pipi, guili-guili".

Le soir, à table, votre mari vous parle de son travail, vous l'écoutez, partagée entre ennui et jalousie. Et vous, votre journée, vous demande-t-il ? Heureusement, vous savez susciter son intérêt avec 3 fois rien : " Figure toi qu'aujourd'hui j'ai acheté des sacs parfumés pour mettre les couches à la poubelle, c'est super !" "Ah bon, vous répond-t-il, je ne savais même pas que ça existait c'est des trucs de riches enfin je veux dire celui qui a inventé ça quand même c'est purement accessoire..."Ah vous savez y faire, et puis il faut dire qu'il est bon public ! Mais demain arriverez-vous encore à l'intéresser ?

C'est vrai que le couple dans tout ça, c'est du glamour en veux-tu en voilà ! Le matin, il vous quitte et vous êtes donc...en pyjama parfois même roulée, tel un nem, sous la couette au fond du lit. Le soir, il vous retrouve et vous êtes...encore en pyjama. Souvent des rototos ont maculé celui-ci de tâches blanchâtres et cette petite odeur de lait caillé au creux de votre cou qui ne vous quitte plus, un délice !
La libido ? Ma foi, vous vous sentez intellectuellement disponible. Les biberons et cacas vous apportent beaucoup moins de tracas que vos dossiers du personnel, en leur temps. Oui finalement, vous ne seriez pas contre une partie de jambes en l'air, une petite lambada X. Pour lui ce sera sans doute plus compliqué de vous désirer notamment pour les raisons que je viens de citer et puis un pyjama en pilou-pilou ça ne vaut pas de jolis dessous. Il ne pourra sans doute accomplir son devoir conjugal qu'au prix de menus efforts tels que vous visualiser dans cette petite robe et ces jolies mules que vous portiez...il y a quelques mois de cela...c'était quand déjà...ah oui, quand vous alliez travailler !


jeudi 20 décembre 2012

Mes résolutions pour l'année 2013

Le jour de l'an et son lot de résolutions approchent. Vous savez, ces petites intentions que l'on se donne en guise de bonne conscience concernant notre comportement, nos habitudes et qui ne sont généralement pas tenues. Pour ma part, je compte, cette année,  faire partie de celles qui tiendront ces sempiternels petits engagements.

Première résolution : Alimenter de nouveau et REGULIEREMENT ce blog. Pour ma défense, la naissance de ma fille en septembre dernier m'a bien accaparée mais je promets de me rendre désormais plus disponible pour écrire.

Seconde résolution, plus anecdotique, j'en conviens : Ouvrir tous les week-end une "bonne" petite bouteille de vin ... et la boire bien entendu... Ben quoi, il n'y a pas de mal à se faire du bien !

Ce qui m'amène à ma troisième résolution et non des moindres : Cesser d'attacher autant d'importance aux changements de mon corps et de mon visage. Je vais certes continuer à prendre soin de moi mais modérer mes angoisses et mes rancoeurs à l'égard d'un corps et d'un visage qui se modifient. C'est d'ailleurs un engagement que nous devrions toutes prendre cette année. Tâche ardue, vous en conviendrez quand la société nous somme de nous conformer à des critères physiques virtuels et inatteignables :

  • On assiste à l'hypersexualisation des petites filles qui, dès 8 ans, peuvent porter des strings et des soutiens-gorges rembourrés et ont déjà leur propre gamme de cosmétiques anti-oxydants. 
  • Aujourd'hui les filles qui sont sur les podiums ont 15 ans alors qu'auparavant Cindy, Claudia, Carla et les autres faisaient carrière entre 20 et 30 ans. 
  • La plupart des mannequins sont désormais contraintes à l'anorexie pour pouvoir rentrer dans des vêtements, aux tailles irréellement petites, crées par des couturiers à la vision étriquée et sans relief, totalement déconnectés de notre monde en 3D.
  • Il est logique que l'obsession d'une peau lisse devienne un esclavage dès l'âge de 25 ans quand les magazines et les médias vantent les mérites des crèmes anti-rides avec des filles de 20 ans et que les marques ont recours aux logiciels de retouches de photos pour promouvoir l'efficacité de leurs produits anti-âge.
  • Enfin que dire de toutes ces femmes qui, désormais figées en un même sourire, se sont offertes aux bistouris de la chirurgie esthétique.
Faire de notre image une source de bien-être, oui la tâche sera ardue, mais rester soi-même, n'avoir rien à prouver n'est-ce pas cela la liberté ?


mercredi 1 août 2012

Surtaxes et disgrâces

Je suis sûre que vous avez remarqué les nombreuses pubs où l'on vous demande d'envoyer un SMS pour connaître votre avenir ou autre, exemple :"MAMAN"au 7208, pour savoir dans combien de temps vous serez maman, "COCU" au 72021 pour savoir si votre moitié vous est fidèle, "MON EX" au 68020 pour savoir si celui-ci va vous revenir ...et j'en passe.

Auparavant, vous ne voyiez ces pubs que sur la TNT ou le câble à des grandes heures d'écoute, là où le taux d'audience est à son paroxysme c'est-à-dire à 3 ou 4h du matin (oui, dans mes phases de grandes insomnies, il m'arrivait de les voir). Désormais, ces pubs fleurissent sur les chaînes nationales et qui plus est, à des heures de grandes écoutes cette fois-ci. Ces types de pubs ciblent bien entendu les ados et leur argent de poche : 1.35 € + 0.35 € par SMS (si ce n'est pas plus cher) il faut compter au minimum 4 ou 5 échanges de textos, la facture monte donc très vite car ce n'est pas parce que les pubères bénéficient d'un forfait SMS illimités ou d'un forfait bloqué qu'ils seront exempts de payer le coût de cette petite arnaque.

Dans la même lignée, il est également possible pour connaître son avenir d'appeler des numéros de téléphone douteux dont l'indicatif commence par 08 et correspond à des lignes audiotel surtaxées. En gros, comme cela fonctionne-t-il ? Les principaux opérateurs télécoms (Orange...) fournissent des séries de numéro type 08 XXX à des sociétés qui elle-mêmes les revendent à d'autres sociétés pour des services de voyance ou de téléphones roses. Ainsi derrière ces 08 XXX se cachent en fait des personnes qui travaillent sur un même numéro de téléphone et qui n'ont pour but que de vous retenir le plus longtemps possible en ligne.

Je connais d'ailleurs tout à fait ce genre de petits services puisque quand je suis arrivée à Paris il y a 15 ans, en plein été à la recherche d'un petit job, ma naïveté et moi-même nous y sommes un peu frottées. C'est en feuilletant un petit journal gratuit qui s'appelait "Paris Paname" je crois (je ne sais pas s'il existe encore) que j'ai répondu à une petite annonce pour un poste de téléopératrice. Malheureusement, je ne me souviens pas du nom de la société, j'ai recherché l'autre jour dans mes vieux bulletins de paie, en vain et je me suis souvenue que j'avais finalement quitté ce poste rapidement sans demander mon reste ou plus exactement sans demander mon chèque et mon bulletin.


Mon job consistait à renseigner par téléphone les personnes qui appelaient les pages jaunes ou blanches pour joindre leur correspondant. La tâche était assez aisée, il me suffisait de rechercher sur internet les numéros de téléphone et de les communiquer. Au bout de quelques jours, ma responsable a décidé de me faire visiter un peu mieux les locaux de travail et de me présenter les possibles évolutions de poste et de salaire . Passé une (LA) porte, nous nous sommes retrouvées dans un petit open space, une quinzaine de filles au m2, le téléphone à l'oreille, poussant des "Oh !", des "Ah....!" très suggestifs, des "Tu sens là comme je suis chaude !"... Pour ma part, j'ai immédiatement été refroidie. J'ai compris qu'elle me proposait de rejoindre le monde du téléphone rose. Telle une vierge effarouchée, je ne suis pas retournée bosser le lendemain ni les autres jours d'ailleurs. Certes j'avais laissé mes couettes, mes socquettes et mes jupettes en province mais j'étais quand même un peu choquée.

jeudi 12 juillet 2012

Post un poil orienté...


Mon triangle me plaît. En revanche, j'en conviens, un désordre pileux qui descendrait sur les cuisses ou remonterait jusqu'au nombril serait indéniablement disgracieux.

Quand j'étais jeune (Y'a pas 20 ans non plus...ah ben si !), on ne rasait pas le pubis (enfin du moins je ne crois pas). Maintenant, les moins de 25 ans n'ont jamais vu une femme au naturel et n'ont de la gente féminine qu'une image lisse et aseptisée, véhiculée aussi bien par les magazines chics que par les films X. En effet, la publicité, la presse féminine, nous font croire que les poils sont laids, inutiles, sales et peu sexy et prônent la mode pubère du glabre à tout prix (le ticket de métro restant une fantaisie vaguement acceptable).


Pourquoi la petite toison pubienne dégoûte-t-elle autant ? Pour ma part, je trouve le ticket de métro ridicule et inutile, quant à la femme "dépoilée", elle symbolise pour moi la fillette. De la même façon (même si c'est un autre sujet), je préfère sentir les poils des hommes sous mes doigts plutôt qu'une peau lisse d'adolescent.

A mon sens, les poils qui dissimulent le sexe féminin entretiennent son mystère. Je trouve même ceux-ci érotiques, à condition toutefois d'en contrôler l'expansion. Une femme au pubis non épilé est une femme de caractère qui assume sa féminité.

Pourquoi est-il préférable de ne pas procéder à l'extermination des poils pubiens (arguments en rien fallacieux et tout à fait sérieux !) :

  • Ils amortissent le frottement : grâce à la pilosité, notre peau ne frotte pas contre une autre peau, mais glisse sur les poils, du coup cela évite les irritations de la zone intime.
  • Ils évitent la surchauffe dans le slip : la pilosité permet à l'air de circuler. Le courant d'air rafraîchit les endroits qui sont en permanence enfermés à mijoter dans le string ou la culotte.
  • Ils sentent bons : le racine des poils produit des phéromones qui attirent l'autre sexe.
  • Ils rendent la peau douce : des glandes sébacées sont accolées à la racine des poils et fabriquent un fluide hydratant pour la peau. Quand on s'épile, on arrache ces glandes. La peau devient donc sèche et s'irrite plus facilement.

L'épilation intime comme son nom l'indique reste personnelle. Comme les coupes de cheveux, elle ne se discute pas, c'est une affaire de goût. Reste à chacun de faire selon ses envies et non selon les diktats de mode et de consommation imposés par notre société.


mercredi 11 juillet 2012

L'homme beige n'est pas tout blanc !

Les "beiges" c'est comme cela que mon fils appellent les hommes blancs. Dans sa classe, il a des copains, marrons, noirs et puis beiges comme lui, son approche des couleurs semble, somme toute, assez logique.

Je fais partie des femmes enceintes qui n'aiment pas demander une place assise dans le métro. Je ne me sens pas forcément  fatiguée pour quémander un siège (bien qu'étant dans mon 3ème trimestre de grossesse) et comme je me plais à le dire : "La grossesse ce n'est pas une maladie !". Et puis d'après les recommandations de la RATP, je viens en 3ème dans l'ordre des priorités pour les places assises, les mutilés de guerre (en reste-t-il encore en 2012 ?), les aveugles et infirmes venant respectivement en 1ère et 2nde position.



Mais pourquoi d'ailleurs est-il préférable de nous laisser nous asseoir ? Tout simplement, parce que le bidon n'aime pas être comprimé dans les rames bondées ou encore, parce qu'il serait préjudiciable, pour le bébé comme pour la future maman, de chuter en cas de freinage brusque.

Loin de moi l'idée de généraliser mais force est de constater que l'homme beige cède difficilement sa place  aux femmes enceintes, dans le métro ; tout particulièrement le beige cadre, celui qui porte une cravate et des chaussures bien cirées à bouts pointus. En effet, depuis quelques semaines, je me plais à observer mes contemporains (les beiges, les marrons et les noirs). Mon constat est sans appel, jamais en 3 semaines, un beige ne m'a cédé sa place dans le métro ! A l'inverse, les marrons et les noirs se lèvent immédiatement pour me proposer avec gentillesse leur siège.

Quand j'en discute autour de moi, au bureau ou ailleurs, tous ces bons messieurs beiges me répondent que : " ce n'est pas comme cela que leur maman les a élevés et que eux laissent toujours leur place dans le métro lorsqu'ils voient une femme enceinte". Un marron, quant à lui, m'expliquait : "Oh vous savez, les gens ils font semblant de ne pas voir que vous êtes enceinte, comme ça c'est plus simple, ils n'ont pas à se lever". Je ne peux pas le croire, l'incivilité aurait-elle gagné les beiges ?

Pire, hier soir, en pleine heure de pointe (et oui, désolée je travaille encore), un beige m'a demandé (non, je rectifie), m'a sommée de me lever de mon strapontin, ce que j'ai fait. Un noir lui a rétorqué "mais vous ne voyez pas qu'elle est enceinte !". Notre beige s'est retrouvé tout penaud et m'a adressé ses plates excuses. Il n'avait donc pas vu.

Difficile pourtant de ne pas réaliser que je suis enceinte, je suis menue avec un ventre énorme, le doute sur un éventuel embonpoint ou une grave aérophagie n'est donc pas permis. Est-ce à dire qu'ils ne me regardent que la face ? Je pense plutôt qu'ils ne me regardent pas du tout, qu'ils ignorent totalement leur entourage, trop engoncés dans leur costume, trop absorbés par leur blackberry, trop captivés par leur journal. Les beiges sont dans leur bulle, insensibles et aveugles aux ventres proéminents.




lundi 9 juillet 2012

Nager palmé, c'est le pied !

Je vous l'avais dit dans un de mes précédents posts, depuis un an, je me suis mise à la nage avec palmes en piscine...et j'adore ! Attention, je ne suis pas inscrite dans un club avec masque, tuba et tout le tralala, non, non, je fais juste des longueurs avec une planche. Je palme sur le dos, le ventre, latéralement pendant une demi-heure de manière intensive, et cela 3 ou 4 fois par semaine.

Je tiens à préciser que je n'ai jamais été sportive que je n'ai jamais réussi à me tenir à une quelconque activité physique plus de 3 mois sans m'ennuyer et donc la laisser tomber. Je suis une frileuse, une anxieuse, une paresseuse, une ronchonneuse, une gaffeuse, une pleurnicheuse, une frimeuse...bref une chieuse et pourtant les palmes et moi ça a tout de suite collé.


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Mes 10 raisons de s'y adonner :


  • Nécessite peu d'effort mais procure beaucoup de plaisir. Parfois, j'avoue y aller à reculons mais dès je saute à l'eau et agite mes petites gambettes en rythme, c'est le bonheur.

  • Raffermit les fessiers, la ceinture abdominale, les cuisses et les mollets. A la différence d'autres sports, la natation avec palmes ne muscle pas (du moins dans le cas d'une activité modérée) mais tonifie et affine.

  • Galbe le bas de la silhouette sans développer le haut. C'est un vrai point positif, aucun risque de se retrouver avec les épaules d'une nageuse voire d'un nageur professionnel(le), seul le bas du corps travaille avec les palmes.

  • Réduit visiblement la cellulite. C'est assez bluffant, je le reconnais, la peau d'orange est rapidement gommée.

  • Aide à lutter contre les jambes lourdes. Moi qui souffrait des jambes lourdes, je n'ai quasiment plus de soucis.

  • Accessible à tous, même à ceux qui ne savent pas bien nager. Je ne connais que la brasse, je suis une piètre nageuse mais les palmes me donneraient presque envie d'apprendre le crawl (à suivre).

  • Permet de ne pas s'ennuyer. Jamais je ne trouve le temps long lorsque je palme. Je varie mes positions. Comme j'ai la tête hors de l'eau, je regarde les autres nageurs.

  • Permet de nager plus longtemps et plus vite. On s'épuise beaucoup moins en palmant, si bien que l'on fait beaucoup de longueurs sans vraiment s'en rendre compte.

  • Procure un massage du corps. C'est un véritable anti-stress, avec la propulsion des palmes, l'ensemble du corps est massé, un vrai moment de détente.

  • Activité sportive peu onéreuse : entrées piscine (24 € les 10 entrées) + achat palmes (19 €) + achat bonnet (4€). Certaines piscines prévoient même des abonnements mensuels ou annuels, cela revient moitié moins cher qu'un abonnement en salle.

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Mes petites contrariétés :

  • Gazon maudit ! L'épilation du maillot doit toujours être au top.

  • Raplapla, j'aime pas ça ! Ma crinière à tendance à perdre en volume à force de porter ce fichu bonnet en silicone.

  • Les bourrins ne sont pas mes copains ! Difficile de cohabiter avec les boeufs qui nagent également avec des plaquettes et se croient tout puissant parce qu'ils vous immergent en passant.

  • Blâme aux piscines qui n'acceptent pas les palmes ! Peu de piscines municipales autorisent malheureusement l'utilisation des palmes.



vendredi 6 juillet 2012

Marre des fouilles nasales dans le métro !

La politesse et le savoir-vivre nous interdit normalement de nous fouiller le nez en public. Et pourtant d'après un sondage (curieux cette idée de sondage tout de même !), il semble que 7 personnes sur 10 soient concernées par cette habitude. J'avoue n'avoir aucun mal à le croire, ne serait-ce que si je considère tous ceux qui, dans le métro, ont cette fâcheuse tendance à se curer le nez en permanence. Je crois que rien ne me dégoûte plus que de voir quelqu'un en face de moi qui fourrage et fourrage inlassablement son nez à la recherche de crottes, le terme médical étant "croûtes de nez" ou "mucus nasal".

Une fois, le mickey (autre terme prisé) à découvert, le cureteur l'ausculte avec satisfaction puis hésite entre expédier celui-ci d'une petite pichenette (et là tout est une question de doigté), ou le coller insidieusement sous son siège à côté des chewing-gums de ses congénères, ou encore garder son petit trésor sur le bout du doigt en attendant le moment opportun pour s'en débarrasser incognito. Et que dire de ceux qui, ravis de leur cueillette, ne peuvent s'empêcher de les ingérer.

Le bâillement est communicatif, la fouille nasale non ! Il m'est impossible de ne pas détourner la tête avec un haut-le-coeur lorsque je surprends un usager du métro en pleine spéléo. Il est tout de même curieux que ce geste pourtant assez anodin répugne autant certains d'entre nous. Peut-être que dans certaines civilisations, cette indélicatesse ne choque pas plus que de se gratter l'oeil ?



jeudi 5 juillet 2012

J'ai adopté Elancyl prévention vergétures

Lorsque l'on est enceinte, le bidon doit être hydraté régulièrement pour ne pas "se déchirer et craqueler". Il y a 6 ans, lors de ma première grossesse, j'avais utilisé la crème Elancyl prévention vergetures, avec succès. Alors que mon ventre était énorme, ma peau tirée à son maximum, l'élasticité avait été conservée et aucun désagrément n'était apparu. Cette année, j'ai décidé de récidiver (dans tous les sens d'ailleurs, grossesse et crème !) et de faire à nouveau confiance à cette marque.

Je ne me suis jamais dit que ça ne servait à rien de se tartiner le ventre avec une crème pour prévenir l'apparition des vergetures. Même si en fonction de notre capital génétique, notre peau ne réagit pas de la même façon, je pense néanmoins que prendre le temps d'appliquer régulièrement et bi-quotidiennement un soin reste, pour chacune d'entre nous,  la meilleure arme.

Je débute mon 7ème mois de grossesse la semaine prochaine et depuis 5/6 mois, je m'astreins matin et soir à appliquer cette crème. Cela prend une minute car elle s'étale bien, il est néanmoins important de prendre le temps de masser la peau pour favoriser la circulation, c'est d'ailleurs ce que conseille Elancyl.

Son parfum est frais et discret. Elle est agréable à appliquer, rend la peau douce, ne colle pas et pénètre si rapidement que l'on peut l'appliquer avant d'enfiler ses vêtements le matin sans crainte de les tâcher.

Elle est concentrée en extraits marins et en huile de carthame (quesako, moi pas connaître !) - ne restons pas bête, une brève recherche sur internet m'apprend que le carthame est une plante herbacée proche des chardons, riche en vitamine E -
Elle est enrichie d'une complexe restructurant et de provitamine B5.

Cette crème existe en format économique 400 ml (24,80 €), vous en aurez donc pour plusieurs semaines.
C'est 10/10 pour ce soin.



mercredi 4 juillet 2012

Suis-je un être égoïste, dépourvu de compassion ?

Ce soir en sortant du bureau, alors que je m'approchais à grand pas de ma station de métro, à quelques mètres devant moi, j'ai vu un corps étendu sur le trottoir. L'homme (que j'ai immédiatement identifié comme étant un SDF : tenue vestimentaire sommaire, peau du visage sclérosée, coquard à l'oeil) était inerte, yeux fermés, bras le long du corps. Je suis arrivée à sa hauteur sur le trottoir et me suis cherchée toutes sortes d'excuses pour ne pas m'arrêter et dans ce cas là, étrangement, les neurones fonctionnent très rapidement :
  • "je suis enceinte, s'il est juste endormi et s'en prend à moi ?"
  • "je suis sortie du bureau à 18h tapante pour une fois, je suis pressée de retrouver mon petit loulou, ce n'est pas pour perdre du temps maintenant !"
  • "si j'appelle la police ou le samu, j'imagine que je vais devoir attendre leur arrivée ?"
  • "nous sommes des centaines à fouler ce trottoir pourquoi est-ce moi qui devrait m'arrêter ?"
Apaisée par mes excuses bidons, j'ai passé mon chemin, laissant cet homme à terre, peut-être ivre, peut-être souffrant, peut-être comateux, peut-être pire. N'était-il pas simple pour moi de dégainer mon portable dernier cri, d'appeler la police ou le samu (ces numéros étant d'ailleurs pré-enregistrés dans mon téléphone) ? Non, j'ai choisi de passer mon chemin, mon sac longchamp en bandoulière, le bruit de mes escarpins raisonnant près de ses oreilles.

Dans le métro qui me menait à mon doux et confortable sweet home, le remords m'a quelque peu rongé.

Où est l'homme ce soir ? aux urgences sur un brancard, dans un refuge ou dispensaire pour SDF (je ne sais même pas comment ça s'appelle) ou allongé sur son trottoir, mort peut-être ?


lundi 2 juillet 2012

J'ai testé la gamme "Aqua" de Make Up For Ever

Je suis une adepte de la piscine. Enfin, plus précisément des palmes, mais je vous en parlerai un autre jour. Mon planning hebdomadaire étant serré (métro, boulot, petit loulou, grand loulou et dodo), je m'adonne à cette activité entre 12h et 14h. J'ai donc deux challenges : m'appliquer à faire mes longueurs dans un temps imparti et revenir au bureau l'après-midi tout aussi "pimpante" que le matin même. Seule solution : utiliser du maquillage waterproof. Oui, vous allez me dire que je peux également me démaquiller puis remaquiller mais que nenni, je n'ai absolument pas le temps, (ni l'envie d'ailleurs), de me refaire la façade à la piscine.

L'équipe de France de natation synchronisée ayant opté pour la gamme Aqua de Make Up For Ever, je me suis dit que moi aussi je le valais bien (euh non c'est pas eux) et que je pouvais également m'offrir ce petit extra. Offrir un extra n'est pas vraiment l'expression car ayant fait le tour de ce qui existait sur le marché en terme de gamme waterproof, Make Up For Ever est finalement tout aussi abordable que les autres marques (je pense par exemple au fard à paupière Aquarésistant d'Yves St Laurent à 26 €).


Aqua CreamJ'ai d'abord testé les premiers mois l'Aqua cream couleur taupe (coût 20,50 €). J'avoue qu'il tenait particulièrment bien. Aucune retouche n'était nécessaire mais Make Up For Ever ne proposait dans cette gamme que des couleurs nacrées et vraiment je trouve qu'à 36 ans, le nacré n'est pas du tout adapté. Ca vieillit, tout en faisant fille-fille, non vraiment je n'aime pas du tout. Au fil des mois, l'Aqua cream bien qu'utilisé régulièrement (3 à 4 fois par semaine, mine de rien je suis assidue dans mon activité piscine !) a séché et durci dans son pot, s'émiettant de plus en plus lors de l'application.


Aqua Shadow
Make Up Fo Ever ayant sorti cette année les crayons Aqua Shadow en 2 nuances mates ou irisée, je me suis précipitée pour acheter le taupe mat et le brun mat (coût 19 € le crayon). Au final, c'est plutôt une déception, les teintes sont très belles certes, mais impossible de les garder toute la journée (piscine ou pas d'ailleurs). Au fil des heures, la couleur s'estompe irrémédiablement. Je respecte pourtant bien les conseils d'application : "Appliquez directement Aqua Shadow sur la peau puis dégradez aux doigts et aux pinceaux 5N, 2S ou 14S. Patientez quelques secondes avant de cligner des yeux, le temps que la texture sèche".

Dommage que ces crayons ne tiennent pas leur promesse. L'Aqua eyes, de la même marque, que j'utilise pour l'intérieur de l'oeil, me donne par contre entière satisfaction. Je continue à utiliser mes 2 Aqua Shadow, maintenant que je les ai achetés, mais vraisemblablement je me tournerai ensuite vers les crayons Jumbo waterproof de Sephora (coût 9,90 €) en essayant d'opter pour les teintes les moins irisées.



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